Le silence inonde les sens et tu fermes les yeux. On te regarde.
Une note discrète, peu assurée puis ton visage qui s’illumine. Melina et son violoncelle.
Tu es si majestueuse du haut de tes 8 ans. Ton sourire me surprend au fil de ce temps qui te fait grandir.
Toi, ma fille, mon indomptable, ma sauvage, ma passionnée.
Tu fuis pour que l’on t’appelle. Tu vis sans te soucier et pleures sans larmes. Ton cri pour nous forcer à te regarder.
Tu es ce violoncelle si délicat à étreindre. Un son lourd et soyeux. Des notes graves mais si douces.
Comme cet instrument, tu es fragile et loin de toute discrétion. Une mélodie en équilibre. Douce et rugueuse. Calme et tempétueuse. Au bord du vide et si haut dans le ciel. Dans l’orage et sous le soleil. Tu m’étourdis comme le son de ces cordes qui vibrent sans laisser de place à l’erreur.
Mon petit violoncelle.
Tu as peur du noir mais je te crois indestructible. Tu te mues, te changes à l’excès et te camoufles pour ne pas te dévoiler.
Mais qui es- tu ?
Qui est la petite Momo ? Celle qui pleure quand elle est seule. Celle qui a si peur qu’on l’oublie. Celle qui en fera trop. Celle qui est si sensible. Celle qui se construit l’assurance pour qu’on la croit forte.
Ma fille, mon petit violoncelle, capable de rendre magnifique la note la plus discrète.
Ne change surtout pas.
Je ne pourrais te dire que je t’aime car c’est bien plus que ça.
Noël approchait et la neige vint recouvrir la contrée.
Le père Noël, dans sa forêt enchantée de l’autre côté des montagnes, se promenait pour ramasser les branches nécessaires à la construction des paniers contenant les cadeaux. Prêt d’une grotte, il vit une personne congelée. Il eut de la peine pour lui et alla la voir. C’était Feuillage Vert ! Le père Noël, qui ignorait qui était cet individu, lui enleva son sort et lui dit :
« – Bonjour, qui es-tu ?
Bonjour Monsieur le père Noël, je suis Feuillage Vert.
Quel drôle de prénom ! Voudrais-tu venir te réchauffer chez moi ?
Oui je … je voudrais bien.
Allez ! »
Et le père Noël emmena Feuillage vert chez lui. Ce si méchant personnage qui avait été gelé puis jeté à travers les montagnes par la Famille Fleurs rose.
Au fil du temps, ce dernier aida le père Noël et devint le chef des lutins. Il mettait les cadeaux dans le traineau.
Mais, dans un souci de vengeance ignoble, il vidait les cadeaux de leur contenu, refaisait les emballages et disposait des présents vides dans le traineau. Personne ne se rendit compte de cet act odieux.
La veille de Noël, le père Noël allait partir distribuer les cadeaux quand Feuillage Vert lui dit :
« – Venez père Noël ! Il y a un loup dans l’atelier. Les lutins ont si peur. »
Il emmena alors le père Noël dans une pièce pour l’enfermer dedans. Feuillage Vert alla voir les lutins pour leur dire qu’il distribuerait les cadeaux car le père Noël était malade.
Feuillage vert partit, ainsi, sur le traineau en cette nuit de Noël.
A minuit, il avait, déjà, distribué des cadeaux vides dans trente maisons, dont celle des Fleurs rose. Dans celle-ci, Clara la petite dernière, si impatiente, ayant entendu les clochettes des reines, descendit vers la cheminée pour découvrir les cadeaux. Elle ouvrit le sien et eu la malheureuse surprise d’ouvrir un carton vide. Elle pleura, alors, de toute ses forces et réveilla tout le monde. Ils furent tous tristes et surpris. La mamy, qui avait le pouvoir de vision, leur dit :
« – C’est Feuillage Vert le responsable. Il a enfermé le père Noël et il distribue la peine cette nuit !
Nous devons agir au plus vite déclara le papa. »
En effet, il fallait réagir très rapidement car bientôt tous les foyers seraient visités par Feuillage vert et ses cadeaux vides. En plus, il serait nécessaire de retourner chez le père Noël pour récupérer les vrais cadeaux pour les offrir ensuite. Le temps manquait. C’était sans compter sur le nouveau pouvoir de la famille. La petite Clara avait disposé d’un pouvoir et, maintenant, elle pouvait combattre. Elle avait le don de vitesse. Elle devait l’utiliser !
C’est donc avec une vitesse immense que toute la famille partit chez le père Noël. Aussi rapidement que l’éclair qui s’abat sur l’arbre, ils récupérèrent les cadeaux et repartirent pour le village. Le père Noël retourna, ainsi, dans chaque maison et les Fleurs rose enlevèrent les cadeaux vides.
Au petit matin, le soleil se leva sur une neige soyeuse. Dans chaque foyer, les enfants purent vivre ce moment magique avec leur famille. Le bonheur comblait les habitants. La magie de Noël était bien présente.
Pendant ce temps, Feuillage Vert observait du haut de la colline. Sa surprise fut immense quand il vit tous ces sourires et moments de joie. Sa manigance n’avait, une fois de plus, pas fonctionné. Il hurla de rage et se jura de revenir…
Clara put, quant à elle, ouvrir le cadeau qu’elle attendait tant. Un nounours géant au pelage si doux. Cette journée de fête fut merveilleuse.
Les Fleurs rose ouvrirent une lettre qui se trouvait au pied de leur sapin :
« Chère famille Fleurs rose,
Je vous remercie d’avoir fait perdurer la magie de noël.
Quelques lignes pour ceux qui sont en miettes, fanés, perdus, ailleurs à pleurer en silence. La douleur les fait flotter pour les égarer tel ces navires voués à se dissoudre dans l’océan déchainé. Les cordes sont rompues et parfois les blessures ne se voient plus, isolées de la souffrance.
Que ces brisés par l’amour, la haine, la maladie ou l’ennui se voient plus beaux que ceux qui jugent leurs maux.
Sortez de vos prisons. Vous êtes magnifiques d’espoir, si beaux du futur.
Un jour, vous ne serez plus en miettes et vos larmes resteront ces compagnons qui n’abandonnent pas. Cicatrices d’avant. Alliés d’aujourd’hui. Vestiges balayés par le vent de l’espoir.
A la fin, il ne restera que vous couleurs. Ramassez vos morceaux et reformer votre puzzle d’existence. Les miettes respirent et redonneront la vie.
Mon clan dort encore et je me lève, gardien du phare solitaire de la tempête. Calme et protecteur. A sa place et serein. Déjà mon téléphone me notifie le risque nucléaire. Je joue avec le petit bonhomme qui s’imagine encore sans me faire percuter par l’obscurité des nouvelles de ce monde malade. Heureux de l’univers que je me suis construit, je suis effrayé par celui qui grogne à l’extérieur. Cris. Rage. Peine.
Je pars et le soleil reflète son éclat sur la pelouse gavées de gouttes de rosée. Des pépites d’or semblent avoir été parsemées par la nuit. Il y a du rose et du coton dans le ciel. Les vignes d’automne sont riches de leurs couleurs chaleureuses. Jaunes, oranges et la délicatesse qu’offre la nature à nos rétines éblouies. J’ouvre la fenêtre de ma voiture et glisse mon bras à l’extérieur pour me croire oiseau qui vole parmi le levant. Illusion soyeuse de liberté.
Il n’y a plus d’essence et ils se battent, animaux sauvages, hagards et peureux. C’est la guerre aux portes de nos maisons. Des bombardements, des vies perdues et une grève qui étourdit. Les lamentations peignent la saison.
J’arrive, maintenant, à la rencontre de mes élèves. Il y a leurs rires et leur naïveté comme force absolue. Je suis en paix. Bientôt je vais prendre place dans ce fauteuil vert aussi vieux que désuet. Je réalise avec joie que tout cela n’est qu’un jeu.
Aujourd’hui, une gamine de douze ans c’est fait assassiner. Il n’y a plus d’espoir dans le lendemain. Les critiques valsent avec le jugement. Notre idée est la meilleure et l’on oublie les points de vue de chacun. On n’espère plus. On ne rêve plus. On veut.
Bientôt je glisse sur le parking avec un caddie devenu engin de toute vitesse. Je m’imagine pilote. Rêve éphémère.
Je rentre, enfin, chez moi et je conduis avec la symphonie qui me fera écrire des mots pour me passionner, créer, vivre, exister, ne pas être oublier.
Un gosse a été tabassé à mort par son beau-père. Des coréens ne sont piétinés jusqu’au trépas. On s’insulte dans l’assemblée et l’on se perd à la télévision.
Je pense déjà aux prochaines histoires que nous construirons. Des spectacles, des films, des représentations, des contes pour enfants. Ces instants de partage qui ne pourront se perdre dans l’oubli. Je reviens vers le foyer de ma vie. Je croise son regard et j’entends leurs voix.
Le monde est un feu. Une adolescente a disparu, on la retrouvera étranglée. Les nations se dressent les unes contre les autres.
Mon univers se resserre sur lui-même. Le soleil se couche et la lumière peint des paysages magnifiques. Les oiseaux s’en vont vers d’autres pays. Ils écrivent dans le ciel des mots inconnus.
Il fait si chaud pour un mois d’octobre. Il n’y a plus de saison et la terre se meure par notre faute.
J’ai peur et je m’enfuis. Je ferme les yeux et me retrouve dans ce champ de fleurs. Une brise légère me caresse le visage. Mes enfants courent et l’écho de leurs rires embrasse les arbres qui nous entourent. Elle me tient la main. Mes larmes me saluent. Je suis là. Paradis.
Mais il fera si froid dans les cœurs. Nous n’avons plus de gaz et d’électricité. La foule gronde…
Pour éviter que je chute, une fois de plus, dans ces larmes qui m’empêcheront de parler, j’ai décidé que j’allais avoir davantage d’humour :
Mais, je n’y parviendrais pas … de la légèreté alors … non ! Je vais faire du Charly et ça ira très bien ainsi.
Avant tout, un grand, un très grand merci à Basile et Lindsay pour m’avoir offert la confiance d’être le parrain de Norah.
Norah … je n’ai, en effet, que quelques mots à t’offrir aujourd’hui :
Avec toi, je ne me prendrais pas au sérieux à essayer de t’apprendre. D’autres s’en chargeront beaucoup mieux que moi, ne t’en fais pas. Je ne serais pas, aussi, celui qui te conseille du haut de son expérience. Non …
Je serais aussi simplement que possible celui qui tentera de trouver ce petit truc à tes côtés. Ce détail très important dans ce monde de folie. Essentiel !!!
J’espère que l’on s’émerveillera devant les couchers de soleil, que l’on fera des vœux sous la danse des étoiles filantes, que l’on sera spectateurs des scènes magnifiques dessinées par les nuages… Et que l’on tentera finalement de trouver ce truc …
Ce foutu trésor au pied de l’arc-en-ciel …
Car je suis convaincu que c’est très important, voir obligatoire de notre temps.
Et cet Echezeau d’un millésime oublié par naïveté bouleversa mon histoire avec le vin.
Au cœur d’une cabane de chasseur, perdue dans les champs de l’Aube, mon ami m’a offert la grâce de découvrir une de vos créations. Grand domaine de Romanée Conti, vous êtes de véritables orfèvres de la vigne. Merci de nous offrir ces moments qui resteront au-delà de la normalité. Je me suis retrouvé, cette nuit-là, happé par la rose et le sel. Envouté. Bousculé. Émerveillé par ce goût. Une perfection de l’instant. Un dosage parfait. Je suis devenu harpe nouvelle jouée par le musicien le plus talentueux, caressé par ce vin ouvert à découvrir le fabuleux. J’ai vibré tel une corde qui laisserai la plus belle des mélodies s’échapper de son corps. Un de ces instants qui suspend le temps …
Je me suis demandé, alors, comment était-ce possible de transformer le raisin en tel breuvage ?
La mixologie offre des artistes qui mélangent les saveurs pour créer le bonheur. Mais vous êtes différents…
L’artisanat de la Bourgogne qui distille le fruit au travers d’une terre si riche. Mais vous semblez au-delà …
La magie, alors… comme la marraine la fée qui transforme la citrouille en magnifique carrosse. Mais, encore là, je n’oserais vous écrire en de tels mots.
Ma plume se heurte aux sentiments, aux sensations, à la grandeur …
Et s’il fallait juste dire que c’était bon … Ce vin m’égare, m’éparpille, me disperse.
Je me souviendrai ainsi de la rose, du sel et de l’émotion certaine qui me traversa alors.
Merci à vous.
Mais sachez tout de même, qu’au fond de mon cœur, je préfère vous imaginer magiciens aux formules magnifiques car c’est tellement plus soyeux pour un souvenir.
La remorque se charge de ces vélos sortis de l’ombre du garage. On range, s’installe et se hâte. L’aventure n’est plus très loin. Encore quelques minutes avant d’ouvrir les portes du sublime.
Certaines ne sont, pourtant, pas pressées par l’effort gigantesque à venir. D’autres, naïfs de l’instant, sourient devant le défilé onctueux des paysages de la fin de l’été.
Je lui tiens la main. Elle me sourit. Il fait si beau aujourd’hui.
Il est, maintenant, l’heure que ces cinq aventuriers chevauchent leurs quatre vélos. Il sera à l’arrière avec moi, dispensé par son âge de pédaler. Elles me suivront pour débuter une valse tranquille sur les bords du lac.
Dans la forêt, nous imitons une horde de loups affamés, si à l’aise de pouvoir glisser vers ce lâcher prise de ceux qui sont seuls au monde.
Des rivages laissent éclater le bleu turquoise de l’eau et les verts flamboyants des arbres. Mes filles y contemplent leurs rêves et je me perds à laisser ma sensibilité se heurter aux vagues légères.
On lève les yeux au ciel pour s’honorer d’une plume dessinée par les nuages.
On se baigne un peu, encore frileux de l’océan d’il y a quelques jours.
On repart feignants de pauses démesurées.
On découvre des abords solitaires de la foule. Cachés. Secrets.
On rit. On s’imagine. On chante. On croise des êtres fabuleux.
J’entends les plaintes de fatigue et je méprise tendrement leurs envies de boire.
Le temps se distend et l’on regrette déjà de revenir à notre point de départ.
Au retour, ils dorment, gavés des couleurs de la journée. Une musique emplie de calme raisonne dans la voiture pour oser apprécier la perfection des vacances de notre clan.
Je m’échappe de mes songes quand la voiture ralentit. Son clignotant m’éveille et je regarde par la fenêtre. On se gare sur une aire d’autoroute perdue dans des paysages qui ne sont plus les miens. Le jour s’est levé et le ciel est rose du soleil nouveau. Je sors, avec hâte, de cette si petite corsa, mon cœur s’emballe enfin. Le chant de cigales semble me saluer. Je sens le parfum des pins et mes sens valsent avec le sourire de ce gamin si heureux de partir en vacances. Les collines enrobées d’une terre claire entourent mon bonheur.
Un chocolat, des gaufrettes et ces regards qui savent si bien enchanter les silences me font patienter. Nous sommes partis cette nuit quand il pleuvait et je me réveille, maintenant, dans un autre monde. Celui où l’on oublie l’ombre des bâtiments. Celui où l’on ose espérer sans se soucier du lendemain.
J’entends ces motos qui accélèrent au loin pour repartir vers le sud. Nous ne sommes pas encore arrivés mais je suis si heureux sur ce parking, étape magique du périple qui nous conduira vers ce lieu ou le bleu du ciel se fond dans celui de la mer Méditerranée.
« Là-bas, derrière la montagne » comme mon père me le chuchote.
En route vers les vacances et ces rêves qui se vivent la journée, sous le soleil d’été, si loin de là-bas.
C’est tellement plus facile de parler de soi que de dire la vérité aux autres.
Et pourquoi ?
De la pudeur. Cette croyance tenace qu’il ne faut pas dévoiler les sentiments. Une peur que tout se perde, peut-être aussi … Et cette éducation où les mots ne doivent pas dépasser les actes… surtout pas.
Et je te vois. Toi. Clara. Celle qui ne croit pas encore en elle.
Et pourtant, si différente du petit Charly qui s’échappait par-delà l’obscurité pour gravir ses Everest.
Je suis fière de toi ma fille. Ce que tu deviens m’éblouit. Tu te construis au fil de ces mondes nouveaux que tu traverses. A chaque fois, tu arrives seule et timide. Tu tangues sans jamais t’écraser. Tu pleures sans jamais t’avouer vaincue. Tu crains sans jamais te perdre. Et tu ne mets pas le genou à terre devant ces âmes enfouis dans la méchanceté. Si lointaine des actes faciles de ceux qui préfèrent suivre, tu traverses les étapes ardues de ta vie sans vendre ta personnalité.
Tu es si forte du haut de tes onze ans.
Tu es si riche d’inspiration.
Vas-y mon enfant, fonce sans te retourner. Tu auras encore peur et souvent tes larmes inonderont ton cœur mais tu illumineras tant ceux qui croiseront ton chemin.
Sois collégienne. Sois adolescente. Sois heureuse. Sois cette gamine qui se trompe mais qui gagne. Vis. Pleure. Ris. Aime. Déteste. Joue. Invente. Danse. Chante. Et ne t’abaisse devant personne.
Merci d’être cette sensible qui voudrait tant qu’on l’apprécie. Merci d’être celle qui ne renonce pas.
Nous créerons encore beaucoup ensemble. Nos histoires abreuveront nos rires.
Mais suis la route qui sera la tienne.
Celle de ton cœur.
Ce n’est pas mon amour qui te parle car tu sais que c’est bien plus que ça …
J’ai osé une amitié que je croyais être la meilleure.
J’ai écrit « on est les trois meilleurs potes » et « reviens vite » sans craindre d’être celui qui beugle pour juste se faire entendre. Mais je me suis trompé, pourtant convaincu d’être sur le bon chemin. J’ai cru la maitriser mais elle m’a balancé dans les orties de la tristesse.
Je l’ai vu passer… Pour qu’elle s’évapore ensuite.
Je l’ai désiré… Pour qu’elle s’oublie enfin. L’amitié.
Au fil des ondes délicates de la vie, j’ai compris qu’elle devait s’apprendre. Aujourd’hui, je la comprends un peu après tant de temps à la rêver.
Je me suis égaré à ne penser qu’à moi. Je me suis persuadé que la sincérité en était la clef.
La franchise n’est pas l’amitié et l’égoïsme est son ennemi. Il faut, parfois, savoir se taire pour être l’ami. Juste devenir ce présent qui accompagne et berce les blessures de l’autre.
Je veux, dorénavant, offrir mon temps et ne plus juger en crachant des mots qui rassurent un égo inutile.
Je crois farouchement en l’amitié et je défendrais les miens même si le tort les accable.
Et l’on pourra alors jouer, rire et s’évader.
Je serais là… juste là et c’est tout… et c’est déjà beaucoup.