Ecrire mon monde

Mes mots au fil des jours, mes phrases pour partager, des pages pour aller vers ce roman.

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Trois dynasties pour rêver

J’ai découvert le Basket par un mercredi après-midi de Septembre. J’étais petit et inconscient et je ne réalisais pas, alors, que ce jours m’ouvrirait la porte d’un monde merveilleux. Celui du jeu. Celui du Basket-Ball.

Force, vitesse, délicatesse et adresse au service de l’équipe.

Des amis, des défaites, des victoires et des souvenirs au-delà du magnifique.

Et même, encore maintenant, mon coeur vibre toujours aussi fort quand je suis sur le terrain. Au centre des ces baskets qui glissent sur le parquet. Au centre du jeu …

Mais comment en être arrivé là ?

Qui nous a permis de ressentir ce jeu de balle comme le plus noble des arts ?

Qui nous a octroyé ce droit au rêve devant ces dix joueurs, ce ballon et ces deux paniers ?

Ma sensibilité me guide vers trois dynasties qui ont su élever ce sport. Trois dynasties qui ont su régner sur le royaume de la balle orange.

A la fin des années 80, nos écrans couleurs tout neuf nous offraient, pour les plus privilégiés, la découverte des LAKERS de Los Angeles et de leur Showtime. Ce sport n’était plus tactique, stratégique ni technique.Il devenait magique et le spectacle se déroulait en Californie. Erwin Johnson nous offrait, alors, la démonstration de l’inédit et du presque impossible. On regardait le match comme un film. On était ébahis. On voulait tous faire de même. Que le spectacle commence !

Et puis, dans les années 90, une équipe de Chicago a fait basculer le Basket dans une autre dimension. Les BULLS de sa majesté Jordan on ouvert ce sport à la légende. Le basket devenait aérien et épique. Air Jordan devint mi-homme mi-dieu à jamais. Ce sport avait, ainsi, écrit son épopée, sa bible et sa mythologie.

Enfin, dès 2015, on retournait en Californie dans la Baie de San Francisco pour découvrir le beau. Les WARRIORS de Curry distillaient ce basket soyeux, distingué et délicat qui venait de plus loin que la ligne à trois points. De la finesse s’initiait dans ce monde de force, de contres outranciers et de dunks qui se postérisent pour l’éternité. On regardait cette équipe avec l’intime conviction que l’on était arrivé à la version la plus esthétique du basket.

Alors, chacun aura sa sensibilité et son interprétation de l’histoire de ce jeu. N’oublions pas les autres princes qui ont, sans doute, marqué d’autres générations. Les CELTICS de Bird et leur duel face aux LAKERS. Les Bad Boys de Détroit pour le côté obscure de la réussite. Les LAKERS de Shaq et Kobe pour surfer sur la vibe. Les SPURS de Tony et leur rigueur austère mais efficace. Et plus prêt de chez nous, pensons à Limoges de Dacoury et à l’Asvel de Rudd pour rêver et découvrir. N’oublions pas l’union sacrée de la grande Dream Team en 1992. Et tant d’autres épopées …

Vous me direz que je me focalise avec rage sur les Etats-Unis, mais il s’agit du royaume du basket-ball. Il sera américain à jamais. Le Football n’a t-il pas quelques gènes au Brésil ? Le Rugby ne se conjugue t-il pas essentiellement en Néo-zélandais ?

Ma sensibilité m’a offert ces dynasties …

A vous de créer et de recréer vos légendes. Vos coeurs vibreront sur d’autres combats, d’autres lieux et d’autres équipes.

Pour ma part je ne retiendrai que ces trois règnes.

Les LAKERS ont rendu le Basket spectaculaire.

Les BULLS l’on inscrit dans la légende.

Les WARRIORS l’on mis en beauté.

I LOVE THIS GAME assurément … pour l’éternité.

Millionsdecoeurs 8

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